Notre projet au départ était Saint-Jacques de Compostelle.
Avec les conditions dues à la Covid, nous avons changé de cap. Ce sera l’opposé, le nord de la France, la Vélomaritime.
Nous étions deux pour préparer ce voyage. La date était fixée au 24 août, pour le retour rien n’était réellement fixé. Nous voulions prendre le temps sans contrainte, c’est l’avantage de la retraite. Avant tout c’était un voyage en mode lent qui nous permettait de traverser plusieurs départements, de faire des pauses aux endroits les plus spectaculaires, des rencontres, parler avec les gens qui sont toujours très surpris de nous voir avec nos vélos chargés. Même des automobilistes nous encourageaient surtout dans les côtes car ce n’était pas tout plat.
Nous partons de Pordic, là où j’avais laissé ma voiture chez des amis. Le matin du 25 août nous sommes prêts à partir, le soleil n’est pas encore là mais il va arriver, par contre le vent nous accompagne mais pas dans le bon sens et il ne nous aura jamais quittés. La route est bien indiquée par des petits panneaux avec le sigle de la Vélomaritime.
Patrick mon coéquipier très à la pointe du progrès, avait un GPS où il avait enregistré la trace avec les étapes avant de partir. Moi j’avais la carte pour une vue d’ensemble. 

Vous pourrez lire le récit de Marie-Agnès dans le prochain bulletin de l’Amicale.

La trace enregistrée de notre parcours :
https://www.visugpx.com/0Ps8AeeNsa